Salut,
Aujourd’hui plein d’infos intéressantes, une vidéo à voir sur France 3 avec des extraits de clips des années 80 entre autres…
Dans l’air du temps une interview de Nicola Sirkis sur le mariage homosexuel et un retour sur un article sur Téléphone.
Je vous laisse découvrir les articles agrémentés comme d’habitude de quelques vidéos, notamment un clip inédit avec Marie-José Perec ...
A bientôt.
Pascal
Retour sur un article interressant de France Info;
Téléphone © EMI - Jean-Baptiste Mondino
C'est l'Arlésienne. Depuis vingt-six ans ans, depuis que Téléphone a disparu, les fans rêvent d'une renaissance. Le succès serait assuré : une grande tournée, des concerts au stades de France. Le groupe de rock a encore un public, tous ceux qui se rappellent cette décennie 1976-1986 : 470 concerts, six millions d'albums vendus, et des tubes à foison : "Un autre monde, "Cendrillon", "La bombe humaine", "Ca c'est vraiment toi...". Le parfum musical du début des années 1980.
Ca a failli marcher, plusieurs fois. Une première tournée est annoncée pour l'année 2000. Elle est annulée. Une deuxième fois, en 2010, c'est presque officiel : une tournée aurait lieu en 2012, ou en 2013, au plus tard. Aujourd'hui, il n'en est plus question. Dans le nouveau numéro de M, le magazine du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme consacrent une longue enquête à Téléphone. Ils révèlent les rancoeurs entre les membres du groupe.
Ils sont quatre : Jean-Louis Aubert, bien sûr, qui chante et joue de la guitare ; Richard Kolinka, à la batterie ; Louis Bertignac, à la guitare et la quatrième, la moins connue, Corine Marienneau, la bassiste de Téléphone. Première révélation : en 1999, alors qu'un retour du groupe est envisagé, Jean-Louis Aubert contacte l'INPI, l'Institut national de la propriété industrielle. Il dépose officiellement la "marque" Téléphone. A son nom, sans consulter les autres. Dix ans après, il renouvelle l'opération (il faut le faire tous les dix ans). Corine Marienneau ne le supporte pas. Elle dépose le nom à son tour. Une rupture symbolique. Téléphone est déchiré.
Corine Marienneau, la seule femme du groupe, celle qui se sent tenue à l'écart. Deux fois, en 2009 et en 2010, elle écrit aux autres : elle est prête à renouer. Elle ne reçoit aucune réponse. En revanche, selon le magazine du Monde, la même année, en 2010, il est question de reformer le groupe sans elle. Un dédommagement est même envisagé : 200 000 versés à Corinne Marienneau pour qu'elle accepte de se retirer. Richard Kolinka affirme que c'est une fausse rumeur.
Le mal est fait. La tension est à son comble. Comment l'expliquer ? D'abord, il y a eu les histoires d'amour. La passion. Corinne Marienneau avec Louis Bertignac, puis avec Jean-Louis Aubert. Il y a aussi les histoires d'argent et la prééminence de Jean-Louis Aubert. Depuis 1983, et un contrat à la SACEM, le leader de Téléphone touche 40% des droits d'auteur ; les autres, seulement 20%. Des quatre, c'est lui qui a le mieux réussi. Derrière les tubes, la réalité financière. Les rancoeurs et les ego. Le conte de fée semble loin. Heureusement, il reste les chansons.
(Source France Info)
Les grands du rire...
Yves Lecoq met en perspective des sketches inoubliables et la nouvelle génération d'humoristes, en compagnie d'invités qui connaissent parfaitement le monde de la télévision.
invité :
Head Murray, Lara Catherine, François Frédéric, Pierrat Emmanuel, Tex , Closets François de, Ventura Clélia
Une série d’articles top à lire:
Les news de Bénédicte ;
Indochine : Un album en 2013
L'album Black City Parade, très attendu par les nombreux fans d'Indochine, sortira le 11 février prochain. Nicola Sirkis, leader emblématique de ce groupe fondé dans les années 80 et chanteur de l'ambiguë Troisième Sexe, ne pouvait pas se taire au sujet du "mariage pour tous", et des manifestations contre l'union homosexuelle s'étant déroulées le 13 janvier. Dans le magazine Muse & Out, l'artiste a confié sa colère."On me traite quelques fois de salope, de p*dé, de drogué", déplore Nicola Sirkis. "La vague d'homophobie actuelle m'a donné envie d'aborder ce thème", poursuit le chanteur, qui évoque ce sujet dans le titre inédit College Boy. "J'ai lu des articles dans la presse qui m'ont révolté. Des gamins qui se font massacrer parce qu'ils sont p*dés", s'insurge Nicola Sirkis. "Des lesbiennes qui sont assassinées en Afrique du Sud, qui subissent des viols correctifs. Je l'ai fait par respect pour les gens qui ont le courage de s'assumer. Aussi, je l'ai fait en réponse aux propos homophobes qu'a tenus Sexion d'Assaut". Si Nicola Sirkis affirme ne pas être homosexuel mais plutôt "lesbienne", il croit fermement au mariage homosexuel. "Pourquoi est-ce que, tout d'un coup, parce que deux garçons ou deux filles s'aiment, ils n'auraient pas droit aux mêmes droits que nous ?", se demande-t-il.
L'interview, menée par la journaliste Clarisse Mérigeot, se poursuit de façon plus légère. Nicola Sirkis y révèle qu'il a toujours eu peur de perdre ses cheveux et qu'il ne connaît pas l'existence de Robert Pattinson. Le chanteur, hypocondriaque, se confie sur son secret pour rester jeune et souple : "J'ai une barre horizontale. J'y fais des assouplissements avec mon collant. J'aime beaucoup la grâce des danseurs", explique-t-il. Nicola Sirkis, au style vestimentaire plutôt sombre, avoue qu'il aime les couleurs explosives uniquement pour ses sous-vêtements. "J'ai des slips de fille de chez American Apparel. Je les aime beaucoup. J'en ai des roses, des rouges, des violets...". Des révélations qui ne manqueront pas d'étonner les admirateurs du chanteur, âgé de 53 ans.
(Photo © Abaca)
Desireless XP2, "Nul ne sait" Maxi 10 titres, "L'oeuf du dragon" !
Nouvel EP "XP2" |
Nouvel EP de Desireless XP2 faisant suite à l'EP « L'expérience Humaine » paru en 2011. Au programme de cet EP, 6 nouveaux titres écrits et composés par Alec Mansion. (Sauf la petite ballade
plage 6 « Au bout du chemin » 100 % Clo, le diminutif du vrai nom de Desireless, Claudie). A découvrir de jolies ballades ("Le chemin", "Nom de Dieu") et les énergiques "Desireless in NY" et son duo avec Joniece Jamison "Personne ne m'a dit". Livret 12 pages illustrées avec textes des chansons.
La chaîne vidéo youtube de Desireless
http://www.youtube.com/user/desirelessclo?feature=watch
Mais Desireless ne se limite pas à cet EP, puisque depuis quelques semaines est disponible le Maxi CD 10 titres « Nul ne sait », fruit de sa collaboration avec Esteban. Au programme également un remix de « Voyage, Voyage ». « Nul ne sait » Original Version & Florida Sunset Remix sont disponibles sur l'album « More Love & Good Vibrations » (édition double CD digipack, édition double CD coffret + poster en cadeau) ainsi que sur la compilation « Plastic Pop From Paris - Album Montmartre ». http://www.fglmusic.com/produit.php?id=1374
Enfin, desireless c'est aussi « L'oeuf du Dragon, » collaboration menée avec Antoine, un projet Electro, qui se joue et se vit en LIVE ! De nombreuses dates de concerts se mettent en place pour 2013 !
http://desireless.bandcamp.com
Pour vous tenir indormé de l'actu de Desireless connectez-vous à sa page facebook
https://www.facebook.com/DESIRELESSPAGE?fref=ts
(Source http://80s-records.blogspot.fr)
Axel Bauer de retour avec le single "Souviens-toi", extrait de l'album "Peaux de serpents"
Une chose est sûre, Axel Bauer publiera bien son nouvel album le 4 mars, sur le label Acceleration. Le chanteur s'est vu remettre son contrat chez Universal suite aux mauvais chiffres de ventes de son dernier disque "Bad Cowboy", sorti en 2006. Une « renaissance » selon l'artiste, qui s'est confié au site Music Waves, révélant que les évolutions au sein du label Mercury ne correspondaient plus vraiment à ce qu'il recherchait : « Au début, c'était un petit label d'auteurs compositeurs prestigieux : Gainsbourg, Barbara … et puis ça a viré. Le label est devenu le chantre des interprètes issus de la Star Academy. L'ambiance a changé. La pression était constante sur l'artistique et j'en avais assez de modifier mes compos pour qu'elles passent en radio » a-t-il précisé à nos confrères.
(Source http://www.chartsinfrance.net )
Ecoutez un extrait du nouveau single d'Axel Bauer, "Souviens-toi" :
La Bombe humaine est sortie en 1979. Cette année-là, rien ne va plus. Second choc pétrolier. Crise de la sidérurgie. Crise de la mémoire collective avec le tollé déclenché par le négationniste Robert Faurisson, qui remet en cause l'existence des chambres à gaz. Départ définitif du paquebot France, revendu à un armateur norvégien. Révélation par Le Canard enchaîné de l'affaire des diamants de Bokassa, mettant en cause le président Valéry Giscard d'Estaing. Les scandales tombent en cascade. La jeunesse a de quoi s'énerver. Et celle qui a du talent va le chanter. Pas un chant de désabusés, ni même d'incrédules, mais un chant de partisans d'une certaine révolution. Voici Téléphone, qui électrise depuis trois ans la scène rock française, ressuscitée grâce à trois garçons et une fille d'une vingtaine d'années: Jean-Louis Aubert, Louis Bertignac, Richard Kolinka et Corine Marienneau. Aucune star parmi eux, mais une même longueur d'onde et une énergie puisée dans le public. Surtout, «pour la première fois, on écoutait des chansons rock en français dont on n'avait pas honte», se souvient Alain Wais, spécialiste du genre et qui a suivi toute la carrière du groupe. Ceux qui les écoutent sont des «kids» âgés de 14 à 18 ans. Génération des problèmes existentiels mais aussi des espoirs. Aubert parle son langage. Alors, forcément, quand cette âme de poète et gueule de mauvais garçon à la Mick Jagger écrit La Bombe humaine, le titre explose.
(Source le figaro)